Stress et coronaires
Une fois la maladie coronaire connue l'anxiété majore le risque d'infarctus ou de décès. Tel est le résultat d'une enquête de 3 ans chez 506 coronariens de Boston : risque relatif multiplié par 2 chez les plus anxieux par rapport aux moins anxieux. Conclusion : le médecin ne doit pas cacher la vérité mais « dédramatiser » ce qui peut l'être, « désanxiolyser » son patient coronarien.